Le spectre inversé

Résumé de la pièce

Rien n’est ni noir ni blanc; tout est une question de perception. D’ailleurs, le terme « spectre » peut être perçu de différentes façons : de la suite continue des couleurs de l’arc-en-ciel aux apparitions fantomatiques, en passant par le figuratif d’une perspective menaçante. À la recherche d’un apaisement de ses douleurs chroniques, Dalton, pour qui le spectre de la discrimination a toujours été présent, se voit forcé de revisiter son passé aux couleurs parfois déchirantes, parfois réconfortantes. La cicatrisation opère et de cette réminiscence émerge alors une constatation universelle : notre place est là, quelque part, et nous avons tous un impact sur la vie des autres, nous laissons tous une trace de notre passage. Car tout est lié et, faut-il le répéter, tout est une question de perception…

Texte : Steve Méthot
Mise en scène : Steve Méthot

Distribution

« J’espère que tu seras heureux malgré ça, mon chou. »

Jade

Desneiges

 

Johanne Chiquette

« Et tu deviendras un enivrant souvenir, une silhouette de plus dans la mosaïque dépareillée qui m’anime et me hante. »

Dalton

 

 

François Drouin

« Pour moi, l’automne, c’est bien plus que les couleurs... »

Stanley

Victor

 

Martin Gagnier

« Moi? Je pose. »

Krystelle

Perle

Mme St-Clair

Julie Gagnon

« Tiens, tiens, l'homme à la vision chromatique perturbée. »

Corraline

Bianca

 

Édith Hamel

« J’aime ça, moi, mettre ça propre partout où je passe. »

Blanche

Kalia

 

Sophie Lambert

« Toi et moi, on a une relation... professionnelle. »

Roy

M. Aubert

 

Paul Leclerc

« L’acharnement ne provoque pas la réminiscence. »

L'arbitre

 

 

Steve Méthot

« Quand on est dans la moyenne, on est facilement remplaçable. »

Mario

Laurier

M. Leblanc

Denis Turgeon

Commanditaires